Numéro des Cliniques de santé mentale à proximité

Bonjour à tous... Je me présente, je suis commercial, j'ai connu un black-out et je pensais bien faire lorsque je me suis dirigeais vers l'EPSM de St-Venant. Je me suis rapidement rendu compte (malheureusement) que cet établissement était loin même très loin, au bout d'une cure de 6 semaines, d'être professionnel. Croyais moi, je vous conseil de vous informez auprès de la "Mitterie" qui se situe à Lomme. Bon courage à tous et oubliez les inconpetents reconnus de St-Venant . Courage à tous

Ça donne vraiment envie d'y aller séjourner !!!

Nul et ne respectent pas la confidentialité, je déconseille.

Clinique trop nul les repas degulase chambre sont très sale les chambres sont jamais propre c’est une clinique qui devrait avoir un contrôle de la sécurité sociale et du service d hygiène ces vraiment ma une honte il vende les connexion wifi 10 euros par semaine il y’a même pas de connexion internet c’est un honte

Très bonne clinique. Psychiatres et personnel soignant à l'écoute. Les repas rien à dire. Une salle de sport pour se défouler... J'y suis restée assez longtemps et j'ai enfin eu un diagnostic sur ma maladie. Merci à toute l'équipe et au Dr Cyran.

Pour toute personne qui se plaignent Je ne connais pas de meilleur lieu, vous ne connaissez sûrement pas le public ! Ici mon Docteur, ma diminuer mon traitement de Benzodiazépines en 1 mois et une pose de une semaine et encore 1 mois dans la vie si l'on veut vraiment aller mieux il faut le vouloir ,Le public la vous avez faim! Vous êtes des sous homme j'ai était mise dehors pour avoir Vu que les infirmièr(es donner 1 tartine part personne ! Tout était compter un vieux monsieur en Dépression nerveuse retaiter avait faim le plus grave c'est que le soir dans un sac, plat,ect... Le personnel repartait avec tout les choses non donner aux patients une honte ! ( Clinique de Excrebieux c'est vraiment autre chose Merci à toutes l'équipe) "Dr Cyran" 4****

J ai été hospitalisé de juin à août 2019 à la clinique pour mon agoraphobie et je peux dire aujourd hui que grâce à l équipe médicale et surtout ma psychologue aurore j ai fait énormément de progrès j habite la région parisienne et je recommande fortement cet établissement d ailleurs j y retourne pour mes rendez vous mensuel avec ma psychologue merci à toute l équipe vous êtes formidable

Bons médecins, hélas comme dans toutes les cliniques du groupe Ramsay, tout le reste ne suis pas et est source de frustration. Politique de la rentabilité au maximum.

Le CESAME est sensationnel aussi bien pour sa restauration que son hôtellerie. La pratique des soins est experte. l'excellence curative aussi, y est recherchée par des systèmes d'évaluation externe et de benchmarking. L'évaluation est le terme obsédant la direction. Les EPHAD ont leur modèle ! 17 - Personnel très compétent, surtout les psychiatres, des médecins omniscients et d'une très grande humanité, au fait de l'expertise scientifique, les mieux classés de l'internat ! Des postes recherchés. Pas 27,4 % de postes vacants, ni des appels au secours au Maghreb, à la Roumanie ou aux médecins généralistes... - Un système original avec des sévices, enfermement, isolement (autorisant le recueillement), contentions physique, mécanique, chimique, qui agrémentent, pimentent le séjour. Des pratiques, déshabillage parfois coquin de jeunes filles nubiles, la lutte contre l'abus des écrans (pas de téléphone personnel) et appels téléphoniques "supervisés" avec sollicitude et bienveillance par des soignantes - Des chocolats chauds à 16 heures dignes d'un restaurant étoilé par des infirmières et autres soubrettes - Une lutte pour le maintien des libertés individuelles, comme celle de fumer du tabac et même du shit ! - Des parties fines rappelant le bon temps des bacchanales (Pas vrai, Antonin ?) - Un monde avec son propre droit (pas ceux des Droits de l'Homme, de la constitution française) trop coercitif. Un autre monde, un voyage au bout de sa nuit !!! - Un endroit agréablement enfumé. Les "soignants" passant du temps à fumer par groupe de 4 tout comme les patients. - Une nouvelle démocratie... - Le contrôle effectué fin 2019 par la Contrôleure Générale des Lieux de Privation de Liberté ou CGLPL, qui n'est vilain ramassis de mensonges - Le plan psychiatrie du Président Macron qui annonce la disparition prochaine de ce beau témoignage français de l'aliénisme à la Henri Ey, est très laid et sot. Quelle tristesse ! - Une très belle équipe communication veillant à supprimer cet avis glorifiant le bel établissement scientifique et universitaire sur Google business. Encore une compétence ! - Des isolements sensationnels organisés par Marie B qui s'affranchit de la loi, pour nous offrir après nous avoir dénudés, la drôlatre, une vie aventureuse et en autosuffisance. La vie de PAPILLON quoi ! Un gentil livre suit et des douces photos et vidéos floutées Dr FORREST GUMP (= Dr Claude GUILLAUMIN) 2

Absolument inhumain. Le personnel fuit les malades, on se croirait revenu au temps de la lèpre. A la maladie s'ajoute un ennui mortel car il n'y a rien à faire a part fumer.

c est un hopital c est vrai mais c est aussi un lieu a visiter lors des journées du patrimoines ou une visite du musée quelques magnifiques statues disséminées dans les jardins et les cours de l hôpital

Ma fille (qui préfère rester anonyme) a eu la mauvaise chance d’être hospitalisée sans consentement dans le Pavillon J de l’hôpital samedi 24 août soir, après un TS qui l’a amenée aux urgences vendredi nuit. Voici son temoignage : “ C’était une impulsion du moment : déjà le lendemain j’étais capable de parler de façon calme et lucide aux psychiatres des urgences, sans ne plus avoir aucune pensée noire et avec la seule envie de voir ma famille (tout ça est documenté noir sur blanc dans les papiers des urgences). J’ai jamais vécu une situation si horrible comme au pavillon J. J’étais pieds nus, avec seulement un couvre-chaussures, et je suis restée comme ça pendant 3 jours. À mon arrivée, l’inventaire a été fait de façon grossière et pendant 2 jours les employés du pavillon ont été incapables de retrouver mes possessions. J’ai demandé un peigne et on m’a répondu qu’ils avaient seulement un « peigne plat pour homme » (je suis italienne, mais je suis totalement bilingue française et je connais bien la différence entre un peigne et une brosse) ; j’ai pu en avoir un seulement au troisième jour. Les aides soignants étaient totalement injoignables : ils s’enfermaient dans les bureaux et ils ne répondaient pas aux demandes d’aide, en passant leur temps sur leurs portables ou à papoter entre eux (une seule exception pour une super infirmière de nuit que j’ai croisé la nuit entre lundi et mardi et qui a pris le temps de me parler). On m’a donné des médicaments sans me dire à quoi ils servaient et ils ne sont même pas notés dans les documents de sortie. À cause d’un de ces médicaments, dimanche matin je me suis levée et j’ai été totalement aveugle pendant 15 minutes (première fois que ça m’est arrivé dans ma vie), avec une tension de 6 sur 4. J’ai pu parler avec d’autres patients qui étaient totalement lucides et retenus sous contrainte depuis plusieurs mois (un de ces patients même depuis un an). Douche commune hyper sale, qui sentait terriblement mauvais, inutilisable. J’ai demandé plusieurs fois de pouvoir parler avec quelqu’un pour être sûre de rester lucide et pour ne pas tomber dans l’angoisse et la peur ; jamais personne est venue. Un ami a appelé plusieurs fois en demandant des nouvelles et ils ne l’ont jamais rappelé. Les médecins n’ont même pas contacté ma psychiatre. Un endroit totalement déshumanisant. La pire expérience de ma vie. Ce comportement ne regardait pas que moi, tous les patients vivaient dans les mêmes conditions de négligence et indifférence. Heureusement, ils ont reconnu le lundi que je n’aurait pas dû me retrouver là et j’ai pu être transférée (seulement le mardi, par manque de place) au pavillon ouvert Magnon, où l’on m’a donné le permis de rentrer chez moi déjà le mercredi et ils m’ont fait sortir définitivement le jeudi matin. Je n’oublierai jamais ces 3 jours, avec le sentiment de terreur et impuissance que j’ai vécu et l’angoisse de ne plus pouvoir rentrer chez moi. “